Randonnée Automnale
Idem JTM avec January Sixteen
Fresh Flower avec Billy
J’entrai dans mon bureau, de façon précipité. Il était quelle heure exactement ? 4 heures ou 5 heures ? Je ne savais pas exactement. Mais il était tôt. Je contemplai la pièce, les yeux s’arrêtant sur le moindre détail, qui pouvait plus ou moins me perturber. Je posai mon manteau, négligemment sur le fauteuil. Puis je m’assis sur ma chaise, devant mon bureau, l’air dépité. Je m’attablai aux éternels papiers que je devais remplir. Quand aurais-je donc le plaisir de me réveiller, non pas pour travailler sur de la paperasse mais pour partir pour des randonnées sortis tout droit de « Wood & Cie. ». Après un long moment à réfléchir, je cherchai des lieux intéressent et originales pour de futurs randonnées. Peut-être sur une plage ? Cela pouvait-être une excellente optique. Je rangeai ensuite mon bureau et soudain, sonna de façon tonitruante mon portable. Quelle heure était-il ?
Ah ! Déjà 14 heures ! Je me précipitai dehors, vers le box de mon petit Billy. Je vus arriver au loin « ma cliente ». Elle était accompagnée d’un bel étalon. Hélas nos deux compagnons étaient bien sals. Après une brève discussion, nous pansâmes nos chevaux. January Sixteen semblait nerveux. Billy, lui, était, on ne peut plus, serein ! Il semblait amusé d’être la petite boule de poile ! Nous sellâmes nos chevaux et une fois tout cela finit, partîmes dehors. Avant notre randonnée, nous allâmes dans la petite carrière. Il fallait nous détendre. De plus, je voyais bien que January Sixteen était une boule de nerf. Autant le canalisait tout de suite. Nous partîmes au trot. Billy était tout joyeux. Je semblai bien grande. Mes pieds trainaient pratiquement sur le sol. Mais j’étais heureuse ! Une fois notre détente de 10 minutes, nous partîmes en direction de la Forêt. Sur la route, je pus observer le temps. Hélas, la pluie semblait être au rendez-vous. J’avais pensé à prendre mon couvre-rein, si la pluie se faisait trop violente. Mais pour le moment, je n’avais pas à le sortir. Toujours au pas, nous prirent un petit chemin d’herbe. Le sol était parfait pour partir au petit trot. Je fis pression avec mes mollets et Billy s’élança dans un petit trot. January Sixteen semblait de plus en plus nerveux. Mais il suffit que sa maîtresse le caressa un instant, et il était de nouveau à l’écoute, et calme. Nous continuâmes notre promenade dans l’herbe, jusqu’à atteindre une forêt aux teintes rouges et ors. Nous repassâmes au pas. Je contemplai autour de moi et je vis un lieu parfait pour prendre un petit galop. Les arbres semblaient avoir dessiné un chemin. Nous partîmes dans un galop régulier. Billy s’amusait énormément. Puis nous repassâmes au trot. Puis au pas. Je jetai un coup d’œil sur ma montre. Plus que 20 minutes. Il fallait rentrer. Nous repartîmes vers Spherean. Une agréable balade pour détendre mœurs et muscles.
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